Pouvez-vous nous dire ce qui vous a poussé à faire coordinateur de projet ?
Tout d’abord, il s’agissait d’un challenge, un défi personnel pour se surpasser et sortir d’une certaine zone de confort. C’était aussi l’occasion de travailler sur un sujet intéressant et de former un groupe de travail motivé et dans une énergie positive.
Quelles sont les compétences que doit avoir un coordinateur de projet ?
Avoir le sens de l’organisation c’est à dire prévoir les réunions avec l’équipe ou les professeurs, fixer un calendrier pour pouvoir avancer étapes par étapes sans être pressé au dernier moment, essayer de répartir le travail équitablement…
Un bon relationnel, ce qui implique d’écouter et comprendre les membres de l’équipe mais également de pouvoir discuter et d’apprendre auprès des intervenants nous aidant tout au long du projet.
Après bientôt 1 an en tant que coordinateur de projet, quels sont les points positifs et les points négatifs de cette mission selon vous ?
Il s’agit d’un long travail, on en ressort d’autant plus grandi, on apprend à connaître de nouvelles personnes, à travailler en équipe, à persévérer. Je n’ai pas vraiment de points négatifs au titre de coordinatrice de projet, j’ai eu la chance d’avoir une équipe motivée et une ambiance de travail très positive (big up à Biothim). C’est un poste qui demande malgré tout un travail supplémentaire d’organisation, on consacre donc plus de temps au projet.
Avez-vous des conseils à donner aux futurs coordinateurs de projet, ou aux étudiant(e)s souhaitant faire coordinateur de projet ?
Foncez, c’est une belle expérience. Tout le monde en est capable, il suffit d’être motivé et de s’entourer des bonnes personnes car il s’agit avant tout d’une équipe.